Algérie / Maroc : Harouna Douamba de l’ONG ANA salue la réouverture de la frontière commune entre les deux pays
Le poste frontière Zouj Beghal, situé à la périphérie d’Oujda, sera ouvert suite à un accord trouvé entre les autorités Marocaines et celles Algériennes, en vue de relier à nouveau les deux pays. Seulement, les deux pays ont convenu d’une ouverture temporaire de ce poste frontière, en vue de procéder à l’extradition de onze ressortissants Algériens et un autre individu, présenté pour étant un Européen.
Mais pour le Président de l’ONG Internationale Aimons Notre Afrique (ANA), président de la Coalition Afrique Engagée (C.A.E), et PDG du groupe ANACOM International, monsieur Harouna Douamba, ce geste des autorités Marocaines et Algériennes est un premier pas qui mérite d’être apprécié à sa juste valeur par les panafricanistes, qui souhaitent d’ailleurs que les deux pays frères puissent résoudre pacifiquement et définitivement leurs désaccords.
En effet, soucieux du rétablissement des relations entre le Maroc et l’Algérie, les panafricanistes regroupés sous la bannière de l’ONG panafricaniste ANA ont multiplié ces derniers temps, partout sur les réseaux sociaux et dans les médias, leur intérêt de trouver une issue pacifique dans un bref délai à cette crise qui secoue les deux nations.
Aussi, il faut préciser que les panafricanistes par la voix du panafricaniste Marocain, vice-président de l’ONG Internationale ANA, PDG du groupe CKM, monsieur Mohamed Khalid Chafaqui, ont annoncé lors d’un récent point de presse au siège de l’organisation, qu’une importante réunion des panafricanistes se tiendra dans les jours à venir afin de mettre en place une stratégie visant à aller auprès des autorités de ces deux pays, en vue de proposer des solutions à cette crise dans un meilleur délai.
pour finir, le leader panafricaniste Harouna Douamba interpelle ces deux pays frères, c’est-à-dire, le Maroc et l’Algérie, que cette crise ne peut que réjouir, les ennemis de la paix et la stabilité du continent Africain. Alors, il est du devoir de tout panafricaniste engagé, de tout mettre en œuvre pour apporter sa modeste contribution à la stabilité du continent Africain en général et des relations entre le Maroc et l’Algérie, plus particulièrement.
Clèm PATRICK