Burkina-Faso: Alerte sur un plan d’assassinat du Président Ibrahim Traoré. Des mercenaires déjà sur place pour la mission
Un lanceur d’ alerte digne de foi signale un plan diabolique en préparation au Burkina-Faso. Il s’agit d’une intention d’attaquer la présidence du Faso et assassiner le Chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré. Selon l’informateur, le sort du Président Traoré aurait été décidé par des ennemis extérieurs qui ont déjà fait rentrer leurs mercenaires dans le pays, avec intention de rééditer la tragédie haïtienne au Burkina.
La vie du Président Ibrahim Traoré serait en danger. Suite aux nombreux échecs essuyés dans leurs tentatives de manipulation et de déstabilisation du Burkina du fait d’une campagne de dénonciation intense par des médias panafricains et relayée par communauté africaine en permanente veille , les ennemis impérialistes du pays des Hommes intègres passent à un niveau supérieur: éliminer le Capitaine Ibrahim Traoré.
Cette information futée des milieux diplomatiques occidentaux est donnée par un lanceur d’alerte, qui précise que ce plan abominable imminent serait ficelé avec la complicité de certaines représentations d’institutions internationales basées à Ouagadougou. Les hommes de main recrutés pour perpétrer ce crime seraient déjà rentrés dans le pays, et seraient hébergés à l’ambassade de l’UE à Ouagadougou.
Cette révélation ne doit pas être prise à la légère. Les services de renseignement et institutions burkinabè en charge de la sécurité intérieure doivent s’autosaisir d’une manière prompte et mener des investigations pour vérifier la véracité de cette alerte. Tout doit être passer au peigne fin; car il en va de la stabilité et de l’avenir du Burkina.
Les agents de sureté et aux postes de contrôle aux frontières et à l’ aéroport sont appelés à exercer leur travail avec plus de rigueur et être plus intransigeants sur l’identité et le contrôle des voyageurs qui rentrent dans le pays.
De même que les représentations diplomatiques et consulaires burkinabè accrédités à l’étranger. La complaisance doit être bannie dans la délivrance de visa et la rigueur de mise sur les identités et les motifs des demandeurs de visa, notamment dans les pays qui n’inspirent pas confiance et avec qui le Burkina connaît une brouille diplomatique.