Burkina Faso : Face à la terreur, le peuple burkinabè tient bon, courageux, résilient et plus engagé pour la patrie.

Dans un contexte régional de plus en plus hostile et incertain, le peuple burkinabè continue de faire preuve d’un courage admirable et d’une résilience exemplaire. Soutenir ouvertement les actions du Président Ibrahim Traoré n’est plus sans conséquences. À défaut de pouvoir faire tomber son régime, certains acteurs extérieurs s’en prennent désormais à celles et ceux qui l’appuient, parfois même au prix de leur vie.

Le cas tragique d’Alain Traoré, alias Alino Faso, en est une illustration poignante. Homme engagé, patriote reconnu, Alino Faso a été victime d’une torture en toute vraisemblance jusqu’à ce que la mort ne s’en sort dans la main des autorités Ivoirienne. Il payait ainsi de sa vie son engagement pour la souveraineté du Burkina Faso et son soutien sans équivoque aux autorités de la transition. Son nom est devenu un symbole, non seulement de sacrifice, mais aussi de la terreur silencieuse qui s’installe autour des partisans du changement.

Dans cette lutte pour la liberté, la dignité et l’autodétermination, le peuple burkinabè ne recule pas. Malgré les menaces, les intimidations et les représailles ciblées dans certains pays voisins, les citoyens continuent de manifester leur soutien à un processus de refondation qui, bien que semé d’embûches, porte en lui l’espoir d’un avenir souverain et libre.

Ce combat n’est pas seulement celui des autorités du pays. Il est devenu celui d’un peuple debout, conscient de ce qu’il risque, mais déterminé à ne plus subir l’ordre imposé par des forces étrangères ou par des systèmes oppressifs. La prudence est devenue un réflexe, la vigilance une nécessité. Mais au-delà de tout, c’est l’abnégation collective qui force le respect.

Le Burkina Faso donne aujourd’hui au monde une leçon de courage politique et de résistance populaire. Loin de céder face à la peur, le peuple s’organise, s’exprime, veille et se mobilise. Il fait bloc autour d’un idéal de souveraineté, parfois au prix de sacrifices humains inacceptables.

En honorant la mémoire d’hommes comme Alino Faso, c’est tout un peuple que l’on célèbre. Un peuple qui, malgré les pressions, reste droit dans ses convictions.

Amen K.

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