Burkina Faso / Manipulations et Déstabilisation : Quand HRW et ses alliés occidentaux font le feu de bois pour créer le chaos.

Les récentes accusations de l’ONG Human Rights Watch (HRW) concernant les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) du Burkina Faso témoignent d’une nouvelle tentative de déstabilisation visant à affaiblir le pays de l’intérieur. Dans un rapport sur l’attaque de Barsalogho, HRW affirme, sans preuves solides, que les FDS auraient contraint la population à des travaux forcés, les exposant ainsi délibérément aux dangers terroristes. Cette allégation, déconnectée des réalités du terrain, semble répondre à un agenda visant à discréditer l’action militaire burkinabè pour semer le doute et diviser la nation.

Cette posture d’HRW, alignée avec les intérêts de puissances occidentales et d’une influence néocoloniale française qui peine à s’affranchir de ses anciennes pratiques, soulève des questions. Pourquoi une ONG prétendument dédiée aux droits de l’Homme se concentre-t-elle autant sur des accusations envers un pays en pleine lutte pour sa souveraineté ? Ces attaques répétées visent manifestement à miner le moral des FDS et des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), ainsi qu’à semer la confusion entre l’armée et la population civile.

Il est crucial pour chaque Burkinabè de comprendre cette dynamique. Les forces qui s’acharnent sur le Burkina Faso n’ont pas renoncé à leurs ambitions de contrôle. Dénigrer les défenseurs de la souveraineté du pays est un moyen subtil, mais destructeur, de fragiliser les piliers de la sécurité nationale.

Le peuple burkinabè, uni dans son désir de liberté et de paix, doit rester vigilant face à ces tentatives de manipulation. Ce n’est qu’en refusant de se laisser entraîner dans ces machinations que le Burkina Faso pourra assurer la défense de son territoire et protéger son indépendance. Le temps est venu pour chaque citoyen de demeurer conscient des enjeux réels et de se mobiliser pour déjouer les stratégies de déstabilisation des forces extérieures.

Amen K.

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