Burkina-Faso: Tentative d’attaque d’une sentinelle au Palais présidentiel; le suspect maîtrisé

Palais de la présidence

Selon l’Agence d’Information du Burkina (AIB), relayée par plusieurs autres médias, un individu au comportement suspect a tenté d’attaquer la sentinelle, en poste au palais présidentiel de Koulouba. Mais c’est oublier la vigilance de la garde présidentielle, qui a promptement réagi en le maîtrisant. Aucun dégât n’est à déplorer.

Ce vendredi 17 mai dans l’après-midi, des tirs ont retenti aux abords du palais présidentiel de Koulouba.  Il s’agissait d’un individu malintentionné, qui a tenté de s’en prendre à la sentinelle en poste au palais. Mais très vite, les éléments de la garde présidentielle ont réagi. L’individu a été maîtrisé. Les tirs n’ont heureusement pas créé de dégât, précise également l’Agence .

Après avoir appelé les populations à ne pas céder à la panique, les sources de l’AIB les invitent à continuer à vaquer librement à leurs activités quotidiennes.

Cet incident visant la sentinelle, est la première attaque du genre depuis que le Capitaine Ibrahim Traoré est au pouvoir .

Pour l’heure, aucune autre précision n’est fournie quant à la nature du suspect et ses réelles motivations. Mais il faut souligner que, les ennemis extérieurs du Burkina Faso et leurs larbins locaux ont du mal à digérer la ferme détermination du Chef de l’Etat à éradiquer le terrorisme et à conduire son pays à la vraie indépendance. De ce fait, ils multiplient les tentatives pour mettre à échec la lutte enclenchée. Mais c’est oublier les mesures sécuritaires renforcées et le soutien indéfectible du peuple à la transition et au Président Traoré.

Il nous en souvient la mobilisation spontanée des jeunes au rond-point des Nations-Unies le 29 mars 2023, après que des tirs sporadiques ont été entendus près de la Présidence burkinabè. « Celui qui joue avec le capitaine Traoré aura à faire à nous », avait averti un manifestant.

Au regard du contexte actuel du pays, la sécurité est renforcé au niveau des zones militaires  à Ouagadougou.

 

Marthe KABRE

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