Cameroun : Soutien aux patriotes résilients face aux défis et aux exigences d’un contexte national en mutation
Les défis du Cameroun croissance économique modérée à 3,6% en 2024, gouvernance des ressources publiques, développement des infrastructures défaillantes, sécurité et modernisation de l’État, exigent une coordination étroite entre décideurs. Dans ce contexte mondialisé de fluctuations économiques et d’attentes sociales croissantes, les proches collaborateurs du Président Paul Biya conjuguent expertise technique, anticipation et sens du service public pour soutenir les priorités nationales comme la digitalisation et la restructuration des entreprises publiques.
Malgré leurs efforts constants pour répondre aux aspirations du peuple dans le cadre de leurs responsabilités étatiques, ces hommes et femmes dévoués font l’objet de mépris, de haines et d’injures orchestrés par des officines obscures aux finalités inavouées. Leur travail administratif rigoureux et leur capacité à aligner les efforts vers des objectifs communs, tels que l’optimisation des ressources domestiques et le renforcement de la transparence, assurent pourtant la stabilité du pays face à la pauvreté persistante et au chômage des jeunes.
Le peuple camerounais doit saisir l’enjeu. Ces collaborateurs sont les garants d’une gestion efficace qui maintient le Cameroun debout, comme en témoigne la résilience économique malgré les crises mondiales et les investissements en infrastructures. Leur dévotion permet d’avancer sur des réformes prioritaires, de la consolidation du secteur financier à la transformation locale des produits de base, dans un budget 2026 en hausse de 14% pour soutenir le développement.
Soutenir ces serviteurs de l’État, c’est reconnaître leur rôle pivotal dans la poursuite d’une croissance visée de 4,5 à 8,1% d’ici 2030 et la mobilisation du capital national pour une économie inclusive. Leur détermination face aux attaques infondées renforce la cohésion nationale et protège les acquis en matière d’État de droit et d’infrastructures régionales.
Amen K.
