Côte d’Ivoire : Appel aux autorités ivoiriennes de freiner Saïd Penda dans ses manœuvres sordides avant qu’il ne commette l’irréparable.

La lutte contre l’insécurité dans la sous-région ouest – africaine ne saurait tolérer des actions de sabotage qui affaiblissent les efforts collectifs. Pourtant, Saïd Penda, journaliste controversé, semble jouer un rôle trouble en agissant en coordination avec des personnalités burkinabè en exil en Côte d’Ivoire et en France. Ces dernières, mécontentes de la gestion souveraine du Burkina Faso par le Capitaine Ibrahim Traoré, financent des campagnes de désinformation visant à ternir l’image des autorités de transition.

Ces campagnes orchestrées ne sont pas de simples actions médiatiques : elles s’inscrivent dans une stratégie plus large qui soutient indirectement les tentatives des groupes terroristes de déstabiliser le Burkina Faso. Les accusations portées contre Saïd Penda soulignent son rôle présumé en tant que communicant dans cette entreprise de manipulation. Il devient urgent que les autorités ivoiriennes prennent des mesures fermes pour éviter que ces agissements ne compromettent davantage la sécurité régionale.

Le Burkina Faso, sous la direction du Capitaine Traoré, a entrepris des réformes audacieuses pour restaurer l’intégrité de son territoire et protéger ses citoyens. Cependant, les manœuvres de déstabilisation initiées depuis l’étranger, notamment à partir de la Côte d’Ivoire, menacent ces avancées. Elles ne se limitent pas à nuire à l’image du Burkina Faso, mais risquent de raviver les tensions et d’alimenter une insécurité croissante dans toute la région.

Il est de la responsabilité de la Côte d’Ivoire, pays engagé dans la lutte contre le terrorisme, de veiller à ce que son territoire ne serve pas de base arrière pour des individus ou groupes agissant contre la paix et la stabilité régionales. Les autorités ivoiriennes doivent immédiatement enquêter sur les activités de Saïd Penda et de ses complices présumés, et mettre fin à ces campagnes subversives.

Laisser ces actions se poursuivre pourrait entraîner des conséquences irréparables pour la sécurité du Burkina Faso et de ses voisins.

Amen K.

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