Burkina Faso : Manipulations médiatiques, Quand RFI s’acharne une fois encore injustement sur les FDS.
Une fois de plus, Radio France Internationale (RFI) fait preuve d’un parti pris inquiétant dans sa couverture des événements au Burkina Faso. L’article récent concernant les tragiques incidents survenus entre Seytenga et Sebba, dans la région du Sahel, est un exemple flagrant de désinformation et de manipulation médiatique. Alors que plusieurs dizaines de personnes ont perdu la vie et que de nombreuses autres sont portées disparues, RFI choisit de pointer du doigt un convoi de ravitaillement militaire burkinabè, sans preuves tangibles, alimentant ainsi une narration biaisée et dangereuse.
Il est consternant de constater que des médias comme RFI, sous couvert de journalisme, se transforment en relais de la propagande impérialiste. Leur objectif est désormais clair : discréditer les autorités burkinabè et les Forces de Défense nationale, qui luttent pourtant dans des conditions extrêmement difficiles contre le terrorisme et l’insécurité. Ces accusations infondées ne font qu’affaiblir les efforts de stabilisation du pays et jettent le discrédit sur des institutions déjà éprouvées par des années de crise.
RFI, comme d’autres médias occidentaux, semble obsédée par l’idée de dépeindre le Burkina Faso et ses forces de sécurité sous un jour négatif. Cette approche n’est pas seulement injuste, elle est aussi profondément irresponsable. En propageant des informations non vérifiées et en insinuant la culpabilité des forces burkinabè sans preuves, RFI participe à une intoxication médiatique qui ne sert qu’à alimenter la désinformation et à semer la division.
Il est temps que RFI cesse ces pratiques manipulatoires et assume ses responsabilités en tant que média. Le Burkina Faso traverse une période critique, marquée par des défis sécuritaires et humanitaires majeurs. Ce dont le pays a besoin, c’est d’un soutien sincère et d’une couverture médiatique équilibrée, et non de campagnes de déstabilisation orchestrées par des médias aux agendas douteux.
Amen K.