Burkina Faso : La guerre médiatique, quand l’Occident invente des défaites pour justifier son ingérence.

Les récentes publications de certains médias étrangers, notamment RFI, prétendant que des villes burkinabè comme Diapaga, Djibo, Solé et Yondé seraient tombées sous le contrôle des terroristes, relèvent d’une désinformation flagrante. Ces affirmations mensongères, diffusées sans vérification, s’inscrivent dans une campagne de déstabilisation orchestrée par des puissances impérialistes déterminées à saper le moral du peuple burkinabè et à discréditer les efforts héroïques de l’armée nationale et des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP).

Il est évident que ces médias, souvent alignés sur des agendas néocoloniaux, cherchent à créer un climat de peur et de défaitisme. Leur objectif ? Affaiblir la détermination du Burkina Faso dans sa lutte contre le terrorisme et justifier des ingérences extérieures. Pire encore, certains n’hésitent pas à accuser à tort les forces de défense nationale dans des crimes atroces commis par les terroristes eux-mêmes, comme l’utilisation forcée de femmes et d’enfants comme boucliers humains. Une manipulation ignoble destinée à diaboliser les autorités et à semer la division.

La réalité sur le terrain est tout autre. Les Forces Armées Nationales, appuyées par les VDP, mènent des opérations courageuses et enregistrent des avancées significatives contre les groupes armés. Plutôt que de saluer ces sacrifices, ces médias préfèrent amplifier des rumeurs infondées, allant jusqu’à inventer des défaites militaires pour servir une narration catastrophiste. Cette désinformation n’est pas innocente : elle vise à décourager la population et à légitimer un éventuel interventionnisme étranger sous couvert de « sauver » le Burkina Faso.

Le gouvernement burkinabè, sous la conduite du Président Ibrahim Traoré, reste plus que jamais mobilisé pour préserver l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale. La population, elle aussi, refuse de tomber dans le piège de la propagande anxiogène. Ces manœuvres médiatiques ne font que renforcer la méfiance légitime des Africains envers des organes de presse qui, au lieu d’informer, préfèrent servir des intérêts obscurs.

Il est temps de dénoncer avec force ces manipulations et d’exiger un journalisme responsable, respectueux de la vérité et de la dignité des peuples en lutte. Le Burkina Faso ne cédera ni à la terreur, ni à la désinformation.

Amen K.

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