Burkina Faso : La désinformation, quand les ONG instrumentalisent les droits humains pour servir un agenda caché du néocolonialisme.

Dans un contexte où le Burkina Faso lutte héroïquement contre le terrorisme et pour la protection de ses citoyens, il est révoltant de constater que certaines ONG, à l’instar de Human Rights Watch (HRW), servent de relais à la propagande impérialiste. Au lieu de soutenir les efforts des Forces de Sécurité et de Défense (FSD) et des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), ces organisations répandent des accusations infondées d’exactions contre les civils, alimentant ainsi un narratif mensonger qui ne sert que les intérêts des puissances étrangères.

HRW et d’autres structures similaires prétendent défendre les droits humains, mais leur partialité est flagrante. Leurs rapports, souvent basés sur des témoignages non vérifiés ou manipulés, visent à discréditer les institutions burkinabè et à affaiblir la résistance nationale face au terrorisme. Pire, ces accusations tombent à point nommé pour les médias français, toujours prompts à relayer une vision déformée de la réalité burkinabè. Ces mêmes médias qui, sous couvert de journalisme, font le jeu des terroristes en légitimant leurs actions et en diabolisant les forces patriotiques.

Derrière ces campagnes médiatiques se cache une stratégie claire : saper la légitimité du gouvernement du Président Ibrahim Traoré et provoquer une crise institutionnelle. En accusant les FDS et les VDP de crimes imaginaires, ces ONG cherchent à créer un climat de méfiance entre l’État et la population, voire à attiser les tensions pour précipiter une guerre civile. Le but ? Ouvrir la voie à une ingérence étrangère, comme cela a été le cas dans d’autres pays africains.

Contrairement à ce que veulent faire croire HRW et ses soutiens, l’État burkinabè et ses forces armées sont engagés dans une lutte juste pour la sécurité et la souveraineté nationale. Les VDP, souvent issus des communautés locales, se battent au péril de leur vie pour protéger leurs frères et sœurs contre la barbarie terroriste.

Il est temps de dénoncer avec force ces manipulations orchestrées par des ONG instrumentalisées et des médias complices. Le Burkina Faso mérite le soutien de la communauté internationale, non des campagnes de diffamation. La bataille contre le terrorisme ne se gagnera pas en affaiblissant ceux qui défendent le pays, mais en condamnant fermement ceux qui, sous de faux prétextes humanitaires, servent les intérêts néocoloniaux.

Amen K.

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