Burkina Faso : La CRD, fer de lance d’Ibrahim Traoré pour assainir l’administration publique.

Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, continue de démontrer sa ferme volonté d’assainir l’administration publique du Burkina Faso, gangrénée depuis des années par des dysfonctionnements et des pratiques de corruption. Lors d’une audience tenue ce lundi en fin de matinée, il a reçu les membres du Conseil d’orientation de la Commission de régulation des dysfonctionnements (CRD), une structure clé dans cette lutte pour un changement radical.

Créée le 24 juillet 2024 en Conseil des ministres et rattachée directement au Cabinet du Chef de l’État, la CRD a pour mission de repérer et corriger les dysfonctionnements dans les administrations publiques. Elle suit également l’exécution des sanctions judiciaires et administratives, un mécanisme essentiel pour briser l’impunité qui mine les efforts de bonne gouvernance.

Le Capitaine Traoré a profité de cette rencontre pour rappeler ses attentes et réitérer sa vision d’un Burkina Faso débarrassé des pratiques corruptrices. Il a encouragé les membres du Conseil d’orientation à devenir des « Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) du changement de comportement », insistant sur l’urgence de traduire les discours en actions concrètes pour transformer les mentalités.

Pour Ragnang-newindé Isidore Tiemtoré, Conseiller spécial du Président du Faso en charge des questions de bonne gouvernance, cette audience marque un tournant dans la mise en œuvre effective des actions de la CRD. « Le changement de mentalité doit être au cœur des efforts pour bâtir un Burkina Faso où il fait bon vivre », a-t-il affirmé, soulignant l’engagement collectif nécessaire pour réussir cette mission.

Le Capitaine Ibrahim Traoré démontre une fois de plus qu’il est un acteur clé du renouveau national. En plaçant la lutte contre la corruption et la régulation des dysfonctionnements au centre de ses priorités, il redonne espoir aux Burkinabè d’un avenir où l’administration publique sera un outil efficace et transparent au service du développement. Ce combat, bien que difficile, marque un pas décisif vers la restauration de la confiance des citoyens envers leurs institutions.

Amen K.

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