Burkina Faso : Un plan génocidaire mis en place par la France. Attention à un Rwanda bis
Jour après jour, les voiles ne cessent de tomber sur les stratégies qui se succèdent pour venir à bout du régime de la Transition Burkinabé, quitte à même faire recours à des plans les plus machiavéliques pour semer le trouble, et ce pour des intérêts pervers de l’ancienne puissance coloniale.
Selon plusieurs informations réunies qui s’accordent, des recrutements des jeunes issus de la communauté peule sont en cours dans les pays comme le Tchad, le Niger et le Mali pour ne citer que ceux-là. Le plan de ce recrutement est la mise en place d’une guerre civile qui risquerait de donner lieu à un génocide, dans le but de conduire à l’intervention d’une force onusienne ou l’OTAN qui est déjà postée au Niger.
Ce plan diabolique consiste à recruter le maximum de jeunes issus de l’ethnie peule, venant des pays voisins. Ensuite, ces jeunes se rendront au Burkina Faso pour poser des actes terroristes, qui consistent semer la zizanie, avec des massacres dans certains villages acquis aux mossi à visage découvert. Les mossi qui en retour ont constaté la présence des jeunes peuls, vont se réorganiser pour s’en prendre à la communauté peule en retour.
Il convient de mentionner qu’une fois le conflit est lancé, des militaires français et leurs alliés comme cela a été le cas au Rwanda, rentreront discrètement dans le conflit avec un camouflage, pour massacrer les populations, avec pour cible, surtout la communauté peule.
Aussi, tous les jeunes des autres pays venus pour cette sulfureuse mission recommandée, ne pourront pas rejoindre leurs parents, car comme dans tous complots sanguinaires de ce genre, ils seront tous abattus selon le plan français, afin de nettoyer toutes les traces. Ces informations sont à prendre très au sérieux.
Le cas du Rwanda où la France après plus de 27 ans a reconnu sont implication dans le génocide est en préparation au Burkina Faso. Les autorités du Burkina Faso sont appelées à avoir un regard au niveau des frontières avec le Niger. Selon les mêmes informations, plusieurs terroristes rentrent dans les bus de transport au nom de la libre circulation et vont finalement rejoindre les groupes.
Affaire à suivre…
Maurice COULIBALY
