Burkina Faso : Vers une couverture universelle, les efforts du Président Ibrahim Traoré pour un accès égalitaire aux services de téléphonie mobile et Internet.
Depuis son arrivée au pouvoir, le Président Ibrahim Traoré et son gouvernement ont fait de l’accès aux services de téléphonie mobile et Internet une priorité nationale. En couvrant 183 zones blanches en 2022, avec un investissement de 6,2 milliards de francs CFA (10,5 millions $) à travers le Fonds pour l’accès et le service universels (FASU), le gouvernement burkinabè a montré sa détermination à réduire la fracture numérique qui persiste dans le pays.
Le défi reste néanmoins de taille. Le Burkina Faso compte encore 1 700 zones blanches, des zones reculées où les services de téléphonie mobile et Internet sont absents. Pour y remédier, le gouvernement a annoncé, le 27 août dernier par la voix de la ministre de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques, Aminata Zerbo/Sabane, un ambitieux plan visant à couvrir 1 000 de ces zones dans les trois prochaines années. Cette initiative, qui vise à étendre la couverture réseau aux zones non rentables pour les opérateurs privés, traduit la volonté du gouvernement de ne laisser aucun citoyen en marge de la révolution numérique.
Ces efforts s’inscrivent dans une stratégie plus large de développement des infrastructures numériques, essentielle pour le développement économique et social du pays. Avec un taux de couverture des services de téléphonie mobile atteignant 85 %, et des services Internet à 64 % pour la 3G et 46 % pour la 4G, le Burkina Faso est sur la voie de la modernisation et de l’inclusion numérique.
L’impact de ces actions se fait déjà sentir. Avec 27,26 millions d’abonnements à la téléphonie mobile et un taux de pénétration de 116,45 %, ainsi que 18,67 millions d’abonnements à l’Internet mobile, soit 79,78 % de la population, le pays se rapproche de l’objectif d’une couverture totale. Ces chiffres témoignent de l’engagement du Président Ibrahim Traoré à faire du numérique un levier de développement pour le Burkina Faso.
En connectant les zones les plus reculées, le gouvernement permet à tous les citoyens de bénéficier des opportunités offertes par le numérique, que ce soit en matière d’éducation, de santé, ou de développement économique. Cette initiative ne se contente pas de combler le fossé numérique, elle crée également un environnement propice à l’innovation et à la croissance dans les zones autrefois délaissées.
En somme, les efforts du Président Ibrahim Traoré et de son gouvernement pour couvrir l’ensemble du territoire burkinabè des services de téléphonie mobile et Internet sont non seulement une réponse aux besoins actuels, mais également une vision pour l’avenir. Ils montrent un engagement à construire un Burkina Faso connecté, inclusif et tourné vers l’avenir.