CONGO-SASSOULAND : Rosalie Matondo ministre des eaux et forêts de Sassou prise la main dans le sac.
A quand l’inspection de la SNPC, Grands Travaux, Trésor Public, Douanes, Impôt, Congo Télécom, Port de Pointe Noire, CHU, UMNG etc…
#Scandale au Ministère de l’Économie Forestière#
Les premiers résultats de la mission de l’Inspection Générale de l’État (IGE) auprès du Service de Contrôle des Produits Forestiers à l’Exportation (SCPFE) sont sans appels et on comprend maintenant pourquoi Madame la Ministre, Rosalie MATONDO, sollicitait désespérément auprès du Premier Ministre Clément MOUAMBA, la reconsidération de la dite mission.
Tenez, la filière bois était à la une hier soir à 20h, lors du journal télévisé de Télé Foufou.
On retiendra que le Congo a perdu plus de 12 milliards FCFA en deux ans.
Entre 2016 et 2017, les dysfonctionnements constatés dans les services de l’économie forestière ont occasionné à l’État un manque à gagner de 12.653.136.205 FCFA et un préjudice de 4.607.088.755 FCFA.
La Commission en charge de la vérification de la gestion des recettes du service de contrôle des produits forestiers à l’exportation (SCPFE), mise en place au mois de juin dernier sur instruction du tyran Sassou Nguesso le chef de l’organisation criminelle, souligne au rouge « le pillage éhonté » de cette ressource nationale par des sociétés forestières avec la complicité active des agents de l’État.
A l’instar de Denis Antoinette et Christel Sassou Nguesso dans la filière pétrolière par exemple.
Confondus par des preuves « irréfutables » les auteurs des infractions et leurs complices, listés dans un rapport confidentiel transmis à Sassou Nguesso auraient avoué leur forfaiture, a indiqué le contrôleur général d’État par intérim, le 12 octobre, à Brazzaville.
Jean Claude Yoka s’exprimait au cours de la cérémonie de lancement de l’opération de recouvrement des sommes dues à l’État par les sociétés forestières patronnée par Florent Ntsiba, ministre d’État, directeur du cabinet du tyran.
Un adage africain dit : Quand un chien commence à chasser les criquets ça veut dire qu’il n’a plus rien à faire et devient inefficace. Il faut changer de chien au risque de mourir de faim ».
C’est ce que le pouvoir de Sassou présente actuellement aux congolais.
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#Ndika