Togo :  Manipulation médiatique, France 24 et Wassim Nasr, toujours dans leur mission de porte-voix des exactions terroristes.

La diffusion des exactions terroristes dans le Sahel et récemment au nord du Togo par France 24 et son chroniqueur Wassim Nasr soulève de vives inquiétudes. Beaucoup sont ceux qui accusent ce média et son journaliste djihadiste de devenir de véritables agents de communication pour les terroristes, en acceptant de diffuser leurs atrocités à des heures de grande écoute et dans le but d’exacerber ainsi la peur et l’instabilité dans la région Ouest Africaine.

La façon dont Wassim Nasr rapporte à cœur joie les événements en lien avec le terrorisme suscite des questions sur l’objectivité et l’éthique journalistique. Aujourd’hui Wassim Nasr et sa France 24 ont décidé d’offrir une tribune aux criminels déchaussés en amplifiant sans état d’âme leurs exactions, avec l’intention de créer une psychose générale au sein de la population.

Les rapports détaillés et souvent sensationnalistes de Wassim Nasr contribuent à diffuser la peur et à légitimer les actes de violence des terroristes. En couvrant les exactions à des heures de grande écoute, il assure une large audience pour ces criminels, transformant ainsi les médias en outils de propagande.

Aujourd’hui l’affinité entre ce média de propagande et ces criminels du désert devient fragrante et inquiétante. Cette complicité médiatique, intentionnelle sert à déstabiliser davantage les régions déjà fragilisées par le terrorisme.

La retransmission disproportionnée et régulière des exactions terroristes a des conséquences dévastatrices sur le moral des populations locales et sur la perception internationale de la région. Elle contribue à renforcer l’image de la violence et de l’instabilité, dissuadant ainsi les investissements et occulte toute initiative de développement.

Il est temps pour les médias français de reconsidérer leur rôle et de s’engager à informer le public de manière éthique et responsable, sans servir de relais à la propagande terroriste.

Amen K.

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