Burkina Faso : Le silence complice de la communauté internationale !

Burkina Faso

Sous le leadership indomptable du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso a démontré et continue de démonter une capacité exceptionnelle à repousser les assauts terroristes sur son sol. Les exploits sont nombreux. Parmi eux, la défaite cinglante infligée à plus de trois mille terroristes à Djibo, prêts à semer la terreur et prendre la ville en otage. Grâce au dynamisme, au savoir-faire et à l’audace de l’armée, ces criminels ont été réduits au silence dans un spectacle pyrotechnique saisissant, préservant ainsi la vie de milliers de Burkinabés.

Pourtant, le silence assourdissant de la communauté internationale face à ces succès retentissants est difficile à ignorer. Aucune déclaration officielle de félicitations n’a été prononcé envers l’armée et leur guide, le Capitaine Ibrahim Traoré pour leurs efforts inlassables visant à débarrasser le pays du fléau terroriste. Une indifférence qui suscite des interrogations profondes.

Certains avancent même l’idée d’un plan machiavélique ourdi contre le Burkina Faso à travers cette attaque, qui aurait pu causer la mort de milliers de Burkinabè. Laisser la ville de Djibo tomber entre les mains des terroristes aurait offert à la Communauté Internationale la justification parfaite pour intervenir ultérieurement sous le prétexte de missions de maintien de la paix, tout en dissimulant une intention sinistre visant à maintenir le Burkina Faso dans une dépendance stratégique.

Pour de nombreux observateurs, le mutisme de la communauté internationale, notamment de l’ONU, de la CEDEAO, de l’Union Africaine et de l’Union Européenne, semble être un message clair au Burkina Faso et à ses autorités : « Vous êtes seuls dans cette lutte. » Certains leaders d’opinion vont même jusqu’à suggérer que ces organisations autoproclamées humanitaires profitent cyniquement du chaos au Burkina Faso, ne souhaitant pas voir l’efficacité de l’armée burkinabè dirigée par le Capitaine Ibrahim Traoré reconnue.

Les exploits indéniables remportés par l’armée burkinabè sous la conduite énergique du Capitaine Ibrahim Traoré méritent reconnaissance et soutien, mais le vide diplomatique pose des questions profondes sur la véritable solidarité dans la lutte contre le terrorisme. Alors que le Burkina Faso s’efforce de se libérer de l’emprise terroriste, la communauté internationale semble très réticente à applaudir ces avancées. Un paradoxe qui soulève des interrogations cruciales sur la sincérité des engagements internationaux et la véritable volonté de soutien envers ceux qui luttent vaillamment pour la paix et la sécurité régionales.

Nelly Fourou 

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