Burkina-Faso: Quand le patriotisme et le sens de discernement du Président Ibrahim Traoré a permis d’éviter le pire

Rupture des accords militaires signés entre le Burkina Faso et la France.  Expulsion des ambassadeurs toxiques.  Exigences imposées aux organismes d’aide humanitaires telles le Programme Alimentaire Mondial (PAM). Vigilance redoublée autour des actions des ONG internationales. Décision ferme de faire la guerre avec les forces endogènes sans l’aide d’une quelconque troupe étrangère. Suspension des médias français devenus des espaces de légitimation des actes terroristes. Décrétation de la mobilisation générale … sont  entre autres des mesures mises en place par le Président Traoré, pour mettre fin au terrorisme dans son pays et ramener la paix et la stabilité.

Des stratégies incomprises tout de suite par certains citoyens et ses détracteurs mais qui se révèlent selon plusieurs analystes  comme des mesures salutaires pour le Burkina, quand on jette un regard dans le rétroviseur pour analyser les différentes crises et guerres qui ont marqué à jamais certains pays africains.

Comme des vautours, les puissances mondiales, notamment les anciens colonisateurs rodent autour des espaces en proie à  une  crise quelconque ( sécuritaire, socio-politique..) à la recherche de leurs intérêts personnels. Pour y parvenir, ils ont plusieurs cordes à leurs arcs: semer ou surfer sur la division, fournir des armes aux groupes  rebelles ou dissidents, inciter à l’insurrection et surtout user de la désinformation à travers les médias internationaux et les médias locaux à leur  solde .

 Le constat a déjà été fait au Rwanda où Radio Milles Collines a été un instrument principal de propagande de l’ethnisme et d’incitation au génocide des Tutsi. Les français se sont servis de la profonde division qui régnait dans le pays pour parvenir à leur fins en mettant le Rwanda à feu et à sang, causant ainsi la mort d’environ 800.000 tutsi.

De même qu’au Nigeria, où les grognes et révoltes séparatistes de la communauté igbo,  a débouché sur la sécession puis sur la guerre civile appelée  guerre du Biafra. Laquelle s’est déroulée du  au 

La guerre du Biafra a été  une occasion pour la France,( bien que le Nigeria ne se fait pas partie de sa zone d’influence car étant un pays colonisé par la Grande Bretagne) d’établir un réseau d’approvisionnement en pétrole et en métaux rares. « L’aide humanitaire annoncée par Paris au Biafra servira surtout de couverture pour acheminer les armes ». L’Etat impérialiste espérant affaiblir le Nigeria, afin d’avoir la voie libre pour profiter au maximum du  pétrole de la région du sud-Est  déversait sur le champ de bataille des milliers de tonnes d’armes, livrées de nuit grâce à un pont aérien organisé depuis l’Élysée.

Ce sont entre autre, quelques exemples du rôle trouble et diabolique joué par la France en Afrique qui sont énumérés dans cet article, puisque l’implication de cet état impérialistes dans les histoires sombres qui ont marqué le continent africain et ailleurs sont légion.

Eu égard à ces événements, les panafricanistes appellent le peuple burkinabè à mettre de côté les considérations politiques et sociales, et ne pas céder aux stratégies de division et de manipulation qu’enchaînent les impérialistes et certains burkinabè ennemis de la paix. Au contraire, tous les burkinabè doivent rester soudés autour du Capitaine Ibrahim Traoré et de ses hommes pour ensemble vaincre le terrorisme, reconquérir la totalité du territoire national et travailler pour le développement économique du pays.

Sophie BERANGER

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