Burkina-Faso/ Côte d’Ivoire: L’étau se resserre autour des « missionnaires » de la déstabilisation/ l’administrateur du compte « Gauthier Pasquet » mis aux arrêts

Les individus à l’œuvre pour la déstabilisation de la sous-région, notamment du Burkina, du Mali… sont dans de bons draps. Se croyant à l’abri en Côte d’Ivoire, cachés derrière leurs écrans avec de faux comptes où ils diffusent en continu de fausses informations profrançaises sur la guerre anti-terroriste au Burkina et au Mali, les activistes toxiques sont en train d’être traqués et arrêtés. Ainsi les administrateurs des pages Facebook et WhatsApp (La Voix du Faso, Burkina 24…), et celui du faux compte Twitter et Instagram de « Gauthier Pasquet » ont été arrêtés en Côte d’Ivoire.

Ces arrestations sont intervenues suite aux investigations menées par les autorités ivoiriennes qui refusent d’héberger les adeptes des projets de déstabilisation du pays frère qu’est le Burkina. Tout comme la Transition burkinabè a œuvré pour pousser les ivoiriens complotant contre le pouvoir d’Abidjan à quitter son territoire.  Ni la Côte d’Ivoire ni le Burkina ne veut servir de base arrière d’ organisation d’ un quelconque plan visant à détruire  l’autre. Car une telle complicité mettrait en péril les relations fraternelles et diplomatiques séculaires qui lient les deux Etats.

Sans oublier GPCI et ANACOM qui ont travaillé d’arrache-pied pour dénoncer et faire déjouer tout plan diabolique ou impérialiste de déstabilisation ficelé contre le Burkina, le Mali et tout autre Etat en Afrique.

En tant que structures promouvant la paix et la stabilité en Afrique ( une condition sine qua non pour l’émergence du continent), GPCI  et ANACOM ont mis les bouchées doubles ces derniers mois, pour que les masques tombent sur les visages de ceux qui s’activent dans l’ombre pour mettre en mal les pays et leurs peuples. Pour y parvenir, ces deux sociétés ont choisi d’utiliser la même arme dont se sert les impérialistes et leurs disciples: la communication.

C’est ainsi que les médias coordonnés par GPCI et la branche communication de l’ONG ANA (Aimons Notre Afrique), communiquent sans relâche pour apporter leurs pierres à la reconquête totale du Burkina Faso mais aussi pour sa souveraineté. Ce pays qui est victime depuis quelques années d’un plan mis en œuvre par l’ancien colonisateur pour faire perdurer le terrorisme. Un complot de plus en plus exacerbé face à la détermination du Président Traoré pour enrayer définitivement le fléau.

Sur la toile et dans les débats, les messages de remerciement et d’encouragement ne cessent de se succéder à l’endroit de ces structures, pour le rôle déterminant qu’elles jouent pour que le Burkina retrouve la paix et la sécurité.

GPCI et ANACOM pour leur part assurent qu’ils ne baisseront pas les bras dans cette mission qu’ils se sont assignés jusqu’à ce que le continent, notamment les Etats luttant pour leur souveraineté, soient libérés de tout joug colonial et d’instabilité.

 

Rama POLE

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