Burkina-Faso: Guerre de communication contre la transition burkinabè. Quand RFI se verse finalement dans le ridicule

RFI

On peut affirmer sans risque de se tromper que la France et ses médias serviles sont à bout de force, face à la résilience du peuple burkinabè et à sa volonté ferme de rester un et indivisible bloc derrière le gouvernement de la transition jusqu’à la victoire finale sur les forces du mal, quelque soit le prix à payer. A court d’idée, RFI, n’a trouvé cette fois-ci rien d’extraordinaire que de publier un article intitulé  » la galaxie Traoré », dont le contenu frise le ridicule. 

Les journaux aux idéologies impérialistes semblent avoir épuisé tout le stock de leurs sales tours et plans de manipulation. En témoigne une récente publication vide de sens du journal RFI, qui tente tant bien que mal d’établir une parenté entre le Président Traoré et ses collaborateurs. Un aveu d’échec ou une nouvelle preuve que les journaux français ruminent toujours une rage noire contre le patriotisme et la détermination du Président Traoré à conduire son pays vers la vraie indépendance?

Il est connu de tous les burkinabè que le Président Ibrahim Traoré dans cette vision a fait un choix minutieux de ses collaborateurs. Il n’est pas question pour lui de mettre aux affaires des individus sangsues qui prennent un plaisir à  piller le pays ou à saboter la lutte commune engagée pour la reconquête de l’intégrité territoriale.

Si ceux que RFI présente comme des proches du capitaine (ce qui reste encore à vérifier), sont compétents dans leur domaine et sont ceux qui sont aptes à soutenir la vision du Chef de l’Etat et à privilégier l’intérêt supérieur de la nation, pourquoi est-il si gênant pour ce journal français?

Pour rappel, alors que Nicolas Sarkozy était président de la France, son fils Jean Sarkozy, âgé de seulement 22 ans a été élu lors des élections cantonales des 9 et  à Neuilly-sud (Hauts-de-Seine) devenant le plus jeune conseiller général de France, jusqu’à ce que Clara Dewaele devienne à 21 ans conseillère générale du canton de Morteaux-Coulibœuf (Calvados) en septembre de la même année, sans que cela ne suscite la moindre gêne pour les français.

Les burkinabè ont compris depuis longtemps qu’ils mènent deux guerres. En plus de la guerre anti-terrorisme qu’il leur a été imposé par les néocolonialistes, les médias français et quelques locaux leur livrent aussi une guerre de communication. Ils ont alors choisi de ne pas céder à ces tentatives de manipulation et de continuer par soutenir la transition, quoiqu’il advienne.

Luc FOUROU

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