Burkina-Faso: Quand le rapport de force tourne désormais en faveur des forces armées
La guerre contre les bandes terroristes se poursuit inlassablement au Burkina Faso, avec des pertes énormes causées chaque semaine dans le rang des ennemis. Résolument engagés à libérer leur territoire national, les forces armées appuyées par les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) multiplient les opérations offensives et sont plus pates à réagir promptement et vaillamment à chaque assaut des groupes assaillants contre leurs positions ou les populations civiles.
Cette nouvelle tournure de la guerre est rendue possible grâce à la montée en puissance de l’armée. Un gain en puissance favorisé par des équipements de pointe mis à disposition des troupes combattantes, et également à une stratégie de guerre bien mûrie et efficace.
Alors qu’il y’ a quelques années les malfaiteurs vivaient en territoire conquis, allant jusqu’à narguer l’armée, ils sont désormais coincés de toute part. N’ayant plus droit de cité dans aucune région du pays, ces malfaiteurs sont alors contraints de vivre cachés dans les forêts et autres contrées reculées. Sauf que même dans leurs derniers retranchements, ils ne sont toujours pas à l’abri des frappes de l’armée. Grâce aux renseignements, et les appareils de surveillance aidant, tous les mouvements des forces ennemies sont connus, leur présence localisée partout sur le territoire national, et les éléments neutralisés en grand nombre.
Avec l’acquisition des vecteurs aériens et drones de dernière génération, la vigilance est accrue dans toutes les localités surtout dans les zones à fort défi sécuritaire, telles les régions frontalières. Pour les autorités de la transition, l’objectif est de ne céder un seul pan du territoire aux assaillants.
Reconnaissant de tous ces efforts investis dans cette lutte, le peuple burkinabè ne cesse de témoigner un soutien indéfectible à la transition et aux forces patriotiques, prêts à maintenir la résilience jusqu’à la victoire finale sur les groupes assaillants.
Luc FOUROU