Burkina Faso : L’avocate internationale, panafricaniste Latifa DIB, félicite le Président de la transition, pour ses avancées positives

Lors d’un entretien avec notre rédaction, la panafricaniste Algérienne et avocate internationale, Latifa DIB, n’est pas passée par quatre chemins, pour féliciter le chef de l’Etat Burkinabé, Son Excellence Paul-Henri Sandaogo Damiba.

Pour Latifa DIB, après avoir eu des entretiens avec les instances Africaines comme la CEDEAO, L’UA, l’ UEMOA, tous sont unanimes, que le Président de la transition au Burkina Faso, est sur la bonne voix, pour remettre son pays sur les rails. Ces grandes institutions Africaines ne cessent de faire les éloges des autorités de la transition Burkinabé, qui sont à l’écoute et qui ne cessent de mettre en avant, l’intérêt du peuple Burkinabé.

En effet, l’avocate internationale, panafricaniste, et membre de la Coalition Afrique Engagée (C.A.E), trouve que les autorités du Burkina Faso, doivent s’impliquer d’avantage pour éradiquer, la manipulation qui est devenue un fonds de commerce, pour les hommes politiques d’Afrique en général et du Burkina Faso en particulier. Pour Latifa DIB, à l’instar du Burkina Faso, tous les pays qui ont subi le terrorisme, ont vu les fils et les filles, même les adversaires politiques s’unir derrière leurs autorités pour une solution rapide. La liberté d’expression, ne doit pas être une arme de déstabilisation, utilisée pour des fins politiques, il est temps que le Burkina Faso, terre des Africains puisse se remettre sur les rails.

Aussi, elle félicite le Président de la transition, et lance un appel à tous les panafricanistes, de soutenir, protéger et défendre les autorités Burkinabé. Quant au peuple Burkinabé dans sa globalité, y compris ceux de la diaspora, la panafricaniste dit ceci, « vous êtes certes, Africains mais sachez que vous n’avez qu’un seul pays, une seule nation. Les autorités de la transition doivent être soutenues par tous les Burkinabé, par tous les jeunes. Ceux qui sont au pouvoir sont jeunes, ceux qui sont au pouvoir ne sont pas d’un parti politique, ceux qui sont au pouvoir meurent pour la défense de la nation, et enfin, ceux qui sont au pouvoir ne réussiront à remettre le Burkina Faso sur les rails, que lorsque cette jeunesse prendra le courage de rejeter la manipulation des hommes politiques ».

Pour conclure, la panafricaniste Algérienne, persiste et signe, l’échec de cette transition, sera l’échec de toute la jeunesse Burkinabé et cela risquerait d’être une déception pour la jeunesse Africaine.

Hamed DIABY

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