Burkina-Faso: Guerre anti-terrorisme/ l’armée toujours engagée dans le processus de la libération du pays

l'armée burkinabè

Au fur et à mesure que les jours passent, la montée en puissance de l’armée sur les forces ennemies, se confirme davantage. Déterminées à défendre leur territoire national, et à reprendre le contrôle des régions assujetties par les hordes terroristes, les forces combattantes font inlassablement preuve de bravoure face aux ennemis qui tombent par dizaines, voire par centaines sur les fronts.

Certes la vocation dans cette guerre contre le terrorisme n’est pas de tuer, comme indiqué par le Chef de l’Etat. Raison pour laquelle, les autorités sécuritaires maintiennent l’appel à déposer les armes. Mais les récalcitrants paient le prix de leur obstination à semer la terreur au sein de la population.

Car équipés en matériels de pointe, les soldats, appuyés par les services de renseignement, montent la garde jour et nuit, notamment dans les zones les plus touchées, prêts à se sacrifier pour assurer la sécurité de leurs compatriotes et favoriser le retour de la paix. Sous la direction du capitaine Ibrahim Traoré, il n’est plus question de laisser les assassins terroristes circuler librement  et commettre les attaques, les vols, les détournements de cargaison, bref toute sorte d’exaction, sans être inquiétées.

Sur la base des informations bien précises que leur fournissent constamment les renseignements tout aussi engagés dans cette lutte commune, et grâce aux vecteurs aériens, les mouvements des malfaiteurs sont repérés même dans les zones forestières et les confins les plus reculés, et leurs projets tués dans l’œuf.  Même dans leurs cachettes et bases les plus camouflées, les assaillants ne sont pas à l’abri. Ils sont traqués et décimés. Les chefs et cadres terroristes n’échappent pas à la puissance de feu des troupes patriotiques.

Avec le nouveau tournant amorcé, il est clair que la victoire finale est juste une question de temps. L’imminence de cette victoire requiert le soutien de tout le peuple aux forces combattantes (FDS et VDP) et aux autorités de la transition, dont l’engagement pour la restauration de la stabilité ne faillit pas.

Luc FOUROU

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