Burkina-Faso: Moussa Diallo et compagnie dans une posture de défiance du peuple burkinabè

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Pourquoi Moussa Diallo et ses camarades s’obstinent à maintenir le meeting du 31 octobre malgré les dénonciations faites par la majorité des burkinabè qui jugent la situation socio -sécuritaire non propice à ces rassemblements aux contours flous?

Il est désormais clair que malgré l’opposition des burkinabè à propos du meeting annoncé du 31 octobre, Moussa Diallo, est bien décidé à troubler le peu de paix et de  quiétude qui prévaut encore au Burkina. Il en a donné la confirmation au cours d’une conférence de presse tenue ce mardi 24 octobre 2023, dans la capitale Ouagadougou.

Bien que conscient des éventuels troubles sociales qui peuvent découler de cette manifestation contre une présumée vie chère, le secrétaire général s’entête à entrainer ses camarades dans un complot fomenté entre lui et des individus à la recherche de leurs intérêts égoïstes, quitte à déstabiliser leur pays. Il s’agit d’un projet de manipulation ingénieusement ficelé par des ces antipatriotes; Moussa Diallo est choisi pour en être l’instigateur, après avoir reçu une mallette à l’insu des autres syndicalistes de la fédération, révèlent plusieurs sources concordantes.

L’objectif est de mettre le feu au Burkina, avec l’aide de certains mercenaires recrutés pour provoquer des troubles pendant les manifestations, déguisés en en forces de l’ordre. Ensuite, les organisations internationales monteront au créneau pour faire endosser la responsabilité aux dirigeants et exiger leur départ, afin de faire revenir des individus sans vision à la tête du pays.

Pour bon nombre de leaders d’opinion, Moussa Diallo doit faire objet de réquisition et être envoyé au front, afin de servir le pays  autrement que ce qu’il s’apprête à donner comme spectacle. Pour rappel, le Burkina s’est donné  tous les moyens légaux nécessaires pour faire face aux attaques terroristes qui frappent le pays à travers la mobilisation générale décrétée en avril dernier.

Ce décret donne le feu vert à l’Etat de réquisitionner, si besoin  se pose, des « jeunes de 18 ans et plus », dans le cadre de l’effort de guerre. Moussa Diallo et alliés seraient donc plus utiles sur le front que dans les manifestations prévues dans ce contexte sécuritaire délétère.

Rama POLE

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