Burkina-Faso: Quand les ennemis de la paix voient le mal partout!

Malheureusement au moment où certains burkinabè soutiennent la Transition dans sa mission de reconquête du territoire, d’autres, pour des intérêts personnels ou juste par méchanceté, s’érigent en ennemis de la paix et de la quiétude. Chaque jour qui passe,  ils cherchent partout la petite bête, pour le malin plaisir de discréditer le MPSR et les hommes d’affaires qui le soutiennent le combat, saboter la lutte, manipuler la population et déstabiliser le pays. Le nouveau sujet qui fait objet de critique c’est les mines d’or de INATA et de manganèse de TAMBAO, cédées à des multinationales à travers un compromis, pour payer les matériels de guerre. Ces mines, il faut le préciser, sont depuis des années inactives, pour cause d’insécurité.

En effet, les autorités de la Transition ont, dans un premier recruté des volontaires pour appuyer l’armée, et augmenter l’effectif des militaires, afin d’avoir un grand nombre ce combattants, face à l’ennemi.

Secundo, ils ont acquis des armes de dernière génération; du matériel coûteux certes, mais qui est à la taille de l’ampleur du terrorisme qui endeuille le pays depuis des années.  Le problème qui se pose alors est celui du cash, pour payer les fournisseurs. Et là, les autorités qui veulent à tout prix éradiquer le fléau, n’ont d’autre choix, que de trouver  un compromis à propos des mines en question.

Le compromis n’est pas une nouveauté dans le monde, encore moins sur le continent. En Côte d’Ivoire, au Togo et tout récemment en Guinée, le magnat des BTP, Mahamadou BONKOUNGOU PDG de EBOMAF, de nationalité burkinabè, a obtenu des garantie de souveraineté à hauteur de plusieurs centaines de milliards. En Guinée notamment, «EBOMAF va exploiter l’un des plus importants sites miniers d’Afrique. Le démarrage des travaux de la construction est prévu avant la fin de l’année et le premier lingot d’or pourrait être attendu en début 2023».

Mais bizarrement, c’est dans son propre pays, qu’un compromis signé, afin de récupérer les ressources sous contrôle terroriste, combattre les ennemis pour enfin rétablir la paix et la sécurité est mal vu.

L’on se demande finalement, si ces médisants aiment vraiment leurs pays? Pourquoi apportent-ils de l’eau au moulin des groupes ennemis au lieu d’accompagner les efforts des autorités de la Transition?

Une fois encore, il est primordial pour le peuple burkinabè de rester soudé, et de rejeter tout acte ou manœuvre de détournement de l’essentiel. L’heure est à l’union pour combattre ensemble le mal qui gangrène le pays, et non se révolter contre le MPSR et les hommes d’affaires désireux d’accompagner la lutte anti-terroriste.

 

Nelly

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